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dimanche 30 mars 2014

Dieu que ce fut délicat ...

Les SA Vierzon avaient besoin de la victoire pour ne compter que sur eux même à une journée de la fin du championnat. Dans une rencontre toujours un peu spéciale quand il s'agit d'un derby, les Tourangeaux n'ont pas fait de cadeaux ... Les Vierzonnais n'avaient pas l'intention d'en faire non plus ... et pourtant !

VIERZON (stade Robert-Barran). SA Vierzon bat US Tours 20-18 (mi-temps : 10-3). Arbitre : M. Burillon (Comité du Lyonnais). Temps agréable, bon terrain, 450 spectateurs environ.En réserve. SA Vierzon bat US Tours par forfait.
Les points. SA Vierzon : trois essais de Poulain (7e), collectif (40e), Patane (56e ), une transformation (56e) et une pénalité de Franke (70e).
US Tours. Deux essais de Munoz (48e) et Ruquier (53e), deux pénalités (34e, 66e) et une transformation d'Amirault (53e).
Cartons jaunes. Micalef (66e) à Vierzon ; G. Lallemand (66e) et Dioton (69e) à Tours.


 Jouer tous les ballons à la main, face au vent, tel était le message qu'avait fait passer Olivier Lutringer lors de la "causerie" d'avant-match dans le vestiaires saviste. Une causerie que l'on qualifiera de "psychologique" à voir la tronche des 22 Berrichons à leur entrée sur la pelouse.
Et, de jeu à la main, durant la première période, les Savistes ne s'en sont pas privés. Même, on pourrait regretter qu'ils aient été trop joueurs, c'est dire !
En terme d'efficacité par contre, ça pêchait un peu. Et on se disait que le 10-3, à la pause était vraiment mal payé. 20 pions de mieux, c'est au bas mot ce que les locaux auraient dû inscrire dans ces quarante premières minutes.


 Au contraire, Tours était toujours dans le match, toujours la tête près du bonnet, la morgue toujours aussi vivace et les prétentions intactes.
Une pénalité d'Amirault avait fait le pendant aux deux essais, en force pour Poulain, pour sa dernière incursion sur la pelouse de Robert-Barran, et collectivement ( les derniers à se relever étaient Robert et Astier) juste avant les citrons. Finalement, on avait envoyé du jeu, créé des brèches, mais les Bleu et Blanc avaient du se contenter de revenir à du jeu au près pour concrétiser une domination territoriale évidente. Van Wick, blessé, n'arrivait pas à trouver le milieu des perches, l'arrière d'Indre-et-loire, Amirault, faisait à peine mieux cependant...
De retour sur le pré, les SAV poursuivaient leurs envolées vers les extérieurs et les défenses prenaient le pas sur les attaques. Pourtant, c'est avec un groupé pénétrant gagnant que Tours recollait au planchot: Munoz enfonçait le clou pour un essai, lui aussi en force, au bas d'une touche à 5 m de l'embut vierzonnais. Et les hommes de Da Cruz et Lutringer envoyaient encore la balle à l'aile pour ...  un essai en contre de 70 m de Ruquier. 10-15 pour Tours et la tension, sur et hors de la pelouse devenait palpable.
L'essai de Patane, avant l'heure de jeu, dans la continuité de celui de Ruquier, redonnait une grosse bouffée d'oxygène aux Vierzonnais qui ajoutaient les deux points de la transformation par Franke.
Les placages, corrects mais appuyés, étaient nombreux.  L'engagement était de tous les instants et les fautes aussi... Amirault en profitait pour inscrire une deuxième pénalité et faire repasser les siens en tête au tableau d'affichage . 17-18, un gros quart d'heure à jouer et de l'envie, encore de l'envie, de la hargne, des fautes et des choix pas toujours judicieux. Même, un petit coup de pied dans l'embut de l'US Tours pouvait subir un meilleur sort. Puisque les jambes ne permettaient pas de passer devant, c'est avec les pieds que Vierzon reprenait l'avantage sur une pénalité de Franke à dix minutes de la fin du temps réglementaire. Une poignée de minutes qui s'avéraient particulièrement difficile pour tous les acteurs de la partie mais aussi pour les quelques 450 spectateurs de ces débats de bonne qualité, la tension en plus. Quand on sait que, à la même heure, le club phare de football local et l'équipe de N3 du handball vierzonnais évoluaient à domicile, on peut juger de l'engouement qu'avait suscité ce derby du Centre.
Cela dit, le score n'évoluait pas et Vierzon pouvait savourer ce succès qui permet d'envisager des jours moins compliqués en Fédérale 2, la saison prochaine. Une joie qui contrastait avec l'attitude, pour le moins peu dans l'esprit du rugby, de certains éléments tourangeaux.

Un constat cependant, comment un club peut-il envisager de jouer les phases finales, et les premiers rôles, sans présenter d'équipe réserve?

dimanche 23 mars 2014

Une victoire ne changeait rien ... mais quand même !



Pour être sereins à deux matches de la fin du championnat les SAV devaient s'imposer et Rennes laisser échapper des points chez le dernier Poitiers. Las, les Vierzonnais ont laissé échappé deux points sur les quatre possibles du jour ... et comme Rennes a été remporter le match de la peur en Poitou, cela ne change rien à l'ordre du classement mais resserre l'écart entre Berrichons et Bretons. Cependant, avant le derby du centre, face à Tours, de samedi prochain, les Savistes ont toujours leur avenir entre leurs mains! 



Vierzon (Stade Robert-Barran). SA Vierzon et Maisons-Laffitte St-Germain Poissy 78 font match nul 19-19 (Mi-temps: 9-16). Arbitre: M. Bouchet (Flandres). Temps nuageux, bon terrain. 50 spectateurs environ. Réserves: SAV-Maisons-Laffitte: 20-13.

Les points pour Vierzon. 1 essai de Sambin (50e), 1 transformation de Van Wyk (50e), 4 pénalités de Van Wyk (4e, 7e, 25e, 74e).
Les points pour Maisons-Lafitte. 2 essais de Jourson (11e) et Baillet (35e), 3 pénalités de Camps (27e, 40e, 62e).
Cartons blancs. M’Tougui (39e) et Galuola (54e) à Vierzon; Cheminet à Maisons-Laffitte (32e).

Quand on joue vite, à la main puis au pied, une pénalité, pourtant en bonne position, dans le sens du vent, sur le bon pied de son buteur, à moins de cinq minutes de la fin du temps réglementaire et que l'on ne marque pas, rentrer au vestiaire avec les deux points du match nul est un moindre mal.
Les points, quand ils sont à porter de pieds ou de main ne doivent pas être galvaudés. Ils sont, en temps de manque, trop précieux. Les anciens en appelaient à "l'insulte faite aux dieux de l'ovale" et outre qu'elle pouvait se payer cash ce dimanche, espéraient que l'on auraient pas à le regretter dans les semaines à venir.
Adossé au vent les locaux avaient pourtant bien débuté la rencontre, van Wyk (4e, 7e) avait concrétisé deux pénalités et, malgré la fraîcheur ambiante d'une fin d'hiver retrouvé, l'après-midi s'annonçait plutôt plaisant.  Et puis voilà que, en bas d'une pénal-touche, le cuir allait sur le fermé pour un essai en coin de Jourson. Pas de transformation mais la menace se précisait même si Van Wyk rassurait l'équipe par une troisième pénalité enquillée (25e).
On ferraillait dur dans les regroupements, les Bleu et blanc parvenaient même à récupérer des ballons sur les rucks initiés par Maisons-Lafitte, partageaient les ballons en  touche et se faisaient beaucoup moins chahutés qu'à l'accoutumée dans les mêlées ordonnées. par contre sur les groupé-pénétrants des Banlieusards, ça secouait sérieux ! D'ailleurs, en conclusion de l'un d'eux, l'artilleur des Bleus foncé, Camps, ramenait les siens à un point (9-8, 27e). 
Et l'affaire se compliquait un peu plus une fois la demi-heure de jeu passée: une attaque vierzonnaise dans les 22 m du MLSGP se terminait derrière la ligne ... des SAV. Un en-avant volontaire non sifflé quelques errements défensifs plus tard, la transformation ratée, les visiteurs pointaient  avec quatre points d'avance qui passaient à sept juste avant la pause: Camps ajoutait une deuxième pénalité avant les citrons.
 Le pire était que personne ne savait quel était le bon bout pour sortir de ce guépier. D'autant que, pour les quarante minutes suivantes, le vent était défavorable aux joueurs de Lutringer et Da Cruz. Pourtant, le début de la seconde période voyait Sambin casser deux placages consécutifs, effectuer un retour intérieur avant de pointer au milieu des pagelles. Van Wyk transformait. Vierzon pointait à hauteur de Maisons-Lafitte et il restait une demi-heurte avant le terme de la rencontre... Largement le temps pour camps de passer sa troisième pénalité (62e) tandis que Vierzon perdait sa confiance en touche et ses ballons sur ses lancers, ses piliers pour en venir à des mêlées simulées, additionnait les passes dans les godasses ou dans les airs, et déjouait à qui mieux-mieux. La maîtrise, à défaut de l'envie de vaincre,  était aux abonnés absents. 
C'était Vierzon qui monopolisait pourtant le cuir mais ne parvenait pas à conclure. Une pénalité de van Wyk ramenait tout le mode à la parité mais quelques instants plus tard, les locaux ne tuaient pas le match alors qu'ils en avaient la possibilité sur cette foutue pénalité jouée vite, trop vite !
le nul était une bonne opération pour les joueurs d'Île de France. Quant aux Vierzonnais, les deux points de plus permettent toujours d'espérer en des jours meilleurs ...



En réserve, les SAV, sopus la conduite de Djamel Gourari,  se sont imposés 20-13. A la pause le score était de 13 à 13.

lundi 17 mars 2014

Ce n'est pas passé loin

Vierzon est revenu des bords de Loire avec un point dans son escarcelle. Galopin était un peu courroucé de n'avoir pris que celui-ci après tant de débauche d'énergie mais, globalement, ce petit point supplémentaire va probablement valoir son pesant de cacahuètes dans les semaines à venir.


Nantes (Stade Pascal-Laporte). Le Stade Nantais bat les SA Vierzon : 15-12 (Mi-temps : 15-12). Arbitre : M. Mercadet (Poitou Charentes).
Les points pour le Stade Nantais. 2 essais de Gougeon (6e, 37e) ; 1 transformation de Le Bail (6e) ; 1 pénalité de Le Bail (14e).
SA Vierzon. 4 pénalités de Van Wyk (16e, 20e, 31e, 40e).

Le jeu prête à faute et, quand on s'envoie comme l'ont fait les acteurs de cette partie, des fautes il y eut sur la pelouse ensoleillée du stade Pascal-Laporte de Nantes. Et, au regard de ce jeu de fautes, il fallait des points. Finalement c'est Nantes qui s'est imposé, sur le fil, pour une pénalité des derniers instants- et au-delà du temps réglementaire - que tentait Van Wik, passé un  poil à droite.
Pourtant, les deux points du match nul aurait été une sacré aubaine pour des Vierzonnais qui, à défaut de faire un grand match, ont réalisé une grosse performance défensive ... tout en encaissant deux essais !
Si les cinq premières minutes de cette rencontre, capitale pour la qualif pour les uns, importante pour le maintien pour les autres, étaient vierzonnaises, le premier quart d'heure allait être nantais avec une faute d'Abderamen autour d'un regroupement, aux 40 m, transformé en pénaltouche (la 1ere d'une longue série) dans les 22. Derrière le groupé-pénétrant l'attaque classique se développait en toute logique pour une essai tout aussi normal de l'ailier  droit Gougeon, venu à l'intérieur des ses centres. En bonne position Le Bail ajoutait deux points de la transformation. 7-0, puis 10- avec une pénalité de Le Bail quasiment face aux perches dans les 20 m savistes. Avant le quart d'heure, on pouvait craindre le pire pour la suite...

M Mais la suite, c'était Van Wyk qui l'écrivait par une pénalité, pas facile, sur la ligne des 5 m (16e), puis une deuxième des 50 m, alors que coup sur coup Le Bail ratait deux tentatives 19e, 26e). Vierzon était près de recoller sur une nouvelle pénalité, cette fois de Franke des 55 m. la distance était là mais ... Par contre Van Wyk ajoutait encore trois points à la demi-heure sur sa troisième tentative de l'après-midi. A 10-9, rien n'était fait et les locaux avaient beau avoir le monopole du cuir sur les touches et dans les mêlées, ils ne parvenaient pas à prenred le large.
L'essai en coin de Gougeon, non transformé, juste avant la pause avait bien redonné un peu d'air aux Bretons ( le stade est au Nord de la Loire donc ces Nantais là sont Bretons ... ). sauf que Van Wyk ramenait encore les Vierzonnais dans la partie dans les arrêts de jeu de la première période. Quatrième pénalité et juste trois points d'écart à la pause.
La seconde période allait voir des Nantais passer à côté de leur sujet, du moins dans le domaine de la concrétisation de leur supériorité territoriale. Comme lors du match aller, ils s'empêtraient dans une forme de suffisance coupable: la volonté d'écraser les Vierzonnais à la descente des pénaltouches dans les 10 m de Vierzon. Cinq fois, six fois, le scénario se  répétait, Cinq fois, six fois, les Bleus et blanc parvenaient à mettre la main sur le ballon, à renvoyer leurs adversaires dans leur camp par de grands coups de pied. Nantes pêchait dans la finition et faisait preuve d'un manque d'humilité coupable.
Et, au fur et à mesure, Vierzon jouait culotté. De relance en relance, c'était les hommes de Da Cruz et Lutringer qui mettaient le feu sur la pelouse. Ainsi, Nigon était trop court sur une chandelle de Collett tandis que Van Wyk voyait une action de soixante mètres avorter en touche près de la ligne d'embut.
Côté défensif ça se passait bien et on retrouvait d'ailleurs Nigon patron dans son couloir avec qui que ce soit en face. Il venait même stopper net une attaque nantaise apparemment imparable, quelques instants plus tard, côté opposé.
A ce jeu, Nantes perdait le sien et se mettait à la portée d'un coup de pied de Van Wyk. Las, la deuxième mi-temps était moins efficace ... Ce qui peut être normal quand on laisse beaucoup de plumes dans les autres secteurs du jeu.
Le score en restait là mais le coup était passé bien près.


En réserve, alors que Nantes, à domicile, alignait 18 noms sur la feuille de match, dont un joueur à plus de 40 ans, les Vierzonnais se présentaient à 17... Une mi-temps plus tard, la cause était entendue avec un 33-0 à la clef. la deuxième période était plus équilibré puisque le score final était de 18 à 5. 




lundi 3 mars 2014

Retour aux fondamentaux

Les Savistes ont pris un point là où personne ne les attendait. Comme à Suresnes, comme face à Soyaux-Angoulême, ce bonus défensif est un signe manifeste de la capacité des Vierzonnais à jouer avec les nerfs des grosses écuries.

L'entraîneur niortais faisait grise mine à la fin de la rencontre: ses ouailles avaient certes remporté le match mais la manière n'y était pas. La faute à des "Vierzonnais truqueurs" ... On pourrait aussi ajouter, pour être aussi agréable que lui, la faute " à des Niortais à côté de la plaque, capables de jouer à la passe à dix mais incapables de franchir la ligne d'avantage, surtout avaleurs d'espace sur la largeur plutôt que dans l'axe profond." Dans les tribunes du stade Espinassou, bon nombre de spectateurs s'accordait pour dire que "dans un match de rugby, pour jouer, il faut être deux." Pour ne pas jouer aussi ...
Les Savistes n'ont probablement pas réalisé un match extraordinaire en terme de jeu grand large, même avec deux essais en bout de ligne à la clef. Par contre, pour le combat, pour la défense, pour les placages, la copie est plus qu'intéressante. On peut d'ailleurs se demander si, à 16-14 pour Niort, au lieu de jouer rapidement la pénalité dans les 22 m locaux, Galopin avait pris les 3 points, qu'elle sort  aurait été celui du match... Selon le 1/2 de mêlée bleu et blanc l'arbitre avait indiqué que la défense n'était pas à 10 m, donc ...
Vierzon à fait le match qu'il fallait faire à l'extérieur. La dentelle n'était pas prévue au programme de ce rendez-vous dominical. Les SAV avaient décidé de revenir aux fondamentaux, bien leur en a pris.
Après avoir laisser passer l'orage au début de la rencontre, la première attaque était vierzonnaise et, en débordement Gauthier Astier pointait l'essai. Face au vent, contre toute attente, Van Wick transformait. 0-7, dès la 8e minute de jeu et coup de fraîcheur hivernale sur des travées assez bien garnies.
Trois pénalités consécutives allaient redonner un peu de sourire aux locaux: Chauvet passait la première des 20 m face(10e), ratait la deuxième 45m face (17e) avant de réussir la troisième exactement au même endroit (20e). Comme Souid avait écopé d'une faute technique et de dix minutes de banc, les voyants étaient au vert pour les Rouges. Surtout que, à la demi-heure de jeu, au lieu de l'essai en coin qu'aurait due marquer Niort, sur une double cagade défensive, l'arbitre donnait essai de pénalité. Chauvet transformait et Niort  passait bel et bien devant au planchot.
A peine revenu sur la pelouse, Mourad Souid retournait dans la cahute du bord de touche avec un de ses vis-à-vis (32e). Tout ça pour une petite histoire de ballon perdu sur introduction vierzonnaise. Quand on parle de fondamentaux ...
La pénalité à suivre, en faveur de Vierzon, voyait une pénaltouche gagnée, une attaque classique au large, et un coup de pied dans l'embut pour Rhys Summerel à la réception en coin (33e).
Toujours face au vent, toujours en coin, Van Wyck transformait et les SAV repassait devant pour peu de temps puisque, avant la pause Chauvet inscrivait une troisième pénalité pour donner 16-14 à la mi-temps..
Quelque peu déstabilisé par les événements - la petite générale et les deux essais - les joueurs des Deux Sèvre bafouillaient leur rugby. Ils s'empêtraient à vouloir passer plein coeur alors que des solutions extérieures semblaient nettement plus positives. Le manque de connexion local, et un réalisme exacerbé des Berrichons, n'aidait pas à une élévation des débats. Niort voulait marquer un essai mais ne s'en donnait pas les moyens alors que les Bleu et blanc plaquaient à tour de bras, quitte à en rater quelques uns!
Le carton blanc attribué à Micalef (58e) plaçait Niort dans les meilleures conditions pour les 20 dernières minutes de la rencontre. Sapparrar remplaçait Chauvet aux tirs aux but et ajoutait trois nouveaux points, sur pénalité, dans l'escarcelle niortaise.  Mais comme Van Wyck répliquait des 40 m, l'écart de deux points ne variait pas jusqu'à la fin d'une rencontre que les locaux remportaient certes mais avec le sentiment d'avoir raté quelque chose. Pour les Vierzonnais, ce point de bonus était une juste récompense d'un après-midi de bosseurs.


Pas forcément un mauvais dimanche pour les réservistes

En réserve, les SAV ont bien résisté: 17-5 à la mi-temps, 31-5 à la fin du temps réglementaire. L'apport de plusieurs juniors et les tutorats ont donné un coup de jeune au groupe. L'expérience de ce dimanche niortais est plus que positive dans une vision globale de la fin de saison  et surtout de la saison prochaine.